Olfe, petite fille de Maroc

Hier j’ai assisté à l’avant-première de la projection de quelques échanges de savoirs fait pour la cinquième chaîne. J’étais éblouie. Des gros plans des gens « ordinaires », passionnés, devenus intéressants et beau à force d’expression de leur joie, de leur enthousiasme.

Cette après-midi, c’est moi et Olfa, la petite fille d’origine marocaine de neuf ans qui serons filmés, de trois à huit heures environ. L’important est de rester naturel et de parler clairement. Je suis forte heureuse qu’à la place d'offrir l’informatique, j’ai proposé cette séance dans laquelle c’est la petite qui m’offre à moi l’aide en français (elle m’avait effectivement bien conseillé pour mon journal période enfance).

Je tâcherai d’utiliser cette émission pour décrire comment passe un tournage en en parler dans la Gazette du Réseau. J’ai rendez-vous avec Yvette, chez elle qu’on va tourner. Nous sympathisons depuis la première réunion du groupe de pilotage de Colloque. Je me suis mis dans son groupe, assise à côté d’elle, elle m’inspirait confiance dans un endroit où je ne connaissais personne.

Olfa a réussi de s’arranger à partir de l’école et persuader ses parents de filmer, mais ils ne voulaient pas que cela se passe chez eux.

Nous sommes tous chez Yvette maintenant, l’équipe de tournage est aussi arrivé. Ils m’ont filmé au début sans que je me rende compte. Olfa m’apprend à saluer en arabe : « Ha slem, Olfe ! » parce que Salem Alehem s’adresse à plusieurs, pas à un seul.

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