- Je peux emmener votre mari entre les deux villes, les deux églises dans ma voiture, me dit le curé. Vous ne devez assister bien sûr aux deux mess. Il y a de limites à ses dévotions…
- Merci, ai-je répondu, j’ai mal au dos, sans ajouter «Quelles dévotions?» A place je lui ai dit une autre vérité : J’ai mal au dos à rester tant des fois debout, je monte alors à côté de mon mari.
- Oui, on peut tout faire quand on est à l’estrade en haut, me répond-il souriant.
A-t-il vu que j’écrivais la dernière fois pendant la messe en haut? Possible. Il ne parait pas le désapprouver, trop.
Pendant la prière, François me chuchotait quelque chose fièrement en parlant de la différence entre les deux orgues. Bon, pour lui, la messe est un spectacle dans lequel il peut se produire, briller, auquel il peut contribuer. Le rendre plus riche d'estimes.
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