2 mars 2007: explication
Après avoir déposé mes journaux, traduits, imprimés et ressemblés dans un seul volume, au service copyright de la Biblioteque de Washington, j'ai été tout à fait bloqué.
Dorénavant, j'avais l'impression que je n'écrivais plus pour moi même, mais pour le publique et ce n'était pas ce que j'étais habituée. D'abord, je n'ai rien écrit. Mais m'exprimer me manquait. Puis, j'ai écrit en hongrois, mais je n'étais plus habituée et les mots ne coulaient plus comme en français dorénavant.
Que faire?
C'est alors que j'avais décidé "je ne vais plus rien publier de ce que j'écris!" et cette décision m'a permis de continuer d'écrire - comme avant.
Bien sûr, quelque part en moi, enfuis profondément, je suspectais que cela ne sera "juste pour moi", mais sur le champs, j'écrivis comme si... de nouveau. Toutefois, j'ai mis dans ce cahier aussi des récits, des histoires, etc. C'est pour cela que je ne publie ici que des extraits, concernant un peu plus ma vie ou comment j'ai réagis à mon environment.
Par la suite, d'autres et d'autres cahiers on suivie, tout en continuant de travailler sur le "livre" et sa correction, je ne pensais plus si ce que j'écris dans mon journal sera ou non lu. Et heureusement, que j'ai continué.
Pas mal des choses sont arrivées!
En plus, écoutant Michel, un de mes correcteurs du "livre (journal)" je mettais plus de dialogue dans mes entrées. C'est ainsi que par la suite, j'ai pu presque copier mot à mot (ce que j'ai entendu non ce qu'il disait) certains phrases de monsieur, mon mari. Curieusement presque, et heureusement, cela ne le gênais pas du tout, le fait que j'écris ce qu'il dit, me permettant par la suite de peindre une meilleur tableau de nos relations.
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