Il affirme : « Tu savais dès le début juillet déjà que tu me quitteras, ne serais plus là, t’étais décidée depuis longtemps. »
Quand me suis-je décidée, que j’en avais assez? Après notre visite chez Stéphanie.
Mais avant?
Pendant nos conversations téléphoniques de juillet, j’en avais assez de l’écouter. Lui de Paris, moi assise sur la terrasse tranquille de Chevy Chase, je ne voulais pas de cet homme hurlant, interdisant que je lui 'réponde.'
Que s’est-il passé entre notre retour en mai encore en 'couple' et le début ou mi-juillet? Je ne me souviens pas, j’essaierai de me le rappeler.
Fin de mois mai, j’étais heureuse qu’il s’occupera pendant mon absence de sa petite fille. Il étudiait l’itinéraire de nos vacances pour le mois août sur Internet et trouvé un site régional, une femme qui parlait des parfums et qui avait des liens sur des sites érotiques, pornographiques.
Est-ce l'Internet rose qui a fait dévier le tout*? Où alors j’étais dégoûtée de la façon répétée qu’il décrivit Nadia au lit, dans la chemise de nuit de sa mère, avec un bout de pied hors couverture.
« Exprès, pour m’exciter, me provoquer. M’appeler. »
Puis ajoutant «On lui avait appris ceci. Séduire.» Je crois que finalement ceci qui a poussé la balance, détruit le 'nous' fragile qui existait encore, au moins, en moi.
Il est allé trop loin dans sa folie.
À partir de là, c’était la boule-de-neige, grandissant jour à jour avec une vitesse vertigineuse.
L’insistance :
— Nous suffoquons à mont Cenis, pas question d’y rester, l’acheter! tu y es attaché ‘ sentimentalement’; et encore quoi »
L’insistance d’acheter l’autre horrible logement. À tout prix. Que je signe, que je cautionne sa demande de crédit. Que je…
— Bien sûr, tu ne veux pas que j’aie un entré séparé, ne pas pouvoir contrôler qui vient chez moi.
— Prends un local séparé, répondis-je.
— Non. Ma vie et ma profession sont unies. »
Puis la femme de site érotique canadienne le fascinant à un point!
Je me suis sentie toute à fait abaissé. J’ai refusé d’être utilisée davantage.
J’avais l’impression qu’il voulait marcher sur moi, après m’avoir mis, jeté par terre. Il était de plus en plus brutal et agressif envers moi. (Heureusement, seulement en mots, mais cela déjà heurt assez.) Il parlait de plus en plus fort. Parlait. Parlait. Accusait. Me rabaissait. De plus en plus, en public aussi.
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* 2007: Il y avaient tellement des choses que je ne savais, ne comprenais pas au moment que j'écrivais ces lignes.
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