16 septembre 2001, Bucarest
Dès que nous sommes partis avec l’avion vers la Roumanie, après presque trente ans, j’ai commencé à parler en roumain.
Sinon, la ville a changé trop, je ne le reconnais pas. Et en plus, il faut se barricader contre des roberies forcées. Portes blindés, alarmes, clés triples, chiens aboyant, piques devant la cour.
Les gosses, mes deux petits-enfants, sont fatigants mais fort gentils. Mon amie Alina ne sait plus comment nous gâter plus, mais elle est très ordonnée, propre, tout a sa place ici et, avec les enfants, ceci n’est pas du tout repos.
Le soir
Je suis finalement trop fatiguée pour écrire ce soir, mais les enfants sont très gentils. Et David MARCHE! Il a presque réussi à traverser le salon, sans tomber. Puis, il se lève et recommence.
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