L’anniversaire du mariage (premier) à Bucarest. C'était en 1959. Que cela parait loin!
Grande joie : Ion vient m’appeler. Ce matin il me disait un peu abattu « mon chef ne m’a pas répondu, il ne veut pas de moi à New York". Ce soir, (chez eux c'est le midi), il l’a appelé pour discuter. Mon fils lui a demandé 10 % de plus (en tout n fois ma pension), «s’est envisageable» lui a-t-on répondu. Il a appelé d'abord sa femme, puis presque tout suite, moi.
Finalement, il est heureux et surtout, il se sent apprécié.
Elle est aussi contente: "tous les signes montrent qu’il faut partir d’ici", me dit-elle. "Nous verrons le reste".
Affaire à suivre. La suite au prochain numéro. (Le départ se réalise, autrement, 5 ans plus tard)
- Et toi alors ? m’a demandé hier Françoise.
- J’y vais, moi aussi, bien sûr. Comment, on verra…
2008: Jour pour jour, je dirai la même chose. "Comment, on verra". Mais pas à NY, à Londres.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire