On a l’impression que tout va bien et puis, d’un coup, rien ne va plus. ma fille ne veut pas de moi cette été en Amérique, mon fils amène ses gosses à s’amuser à GP parade bien que j’ai peur des manifestations. Slava s’est refroidi puisque je l’ai un peu négligé lors Alina était ici et j’avais mal aux chevilles, et je n’ai pas réussi raconter de manière intéressante Laisser une Trace.
Madeleine m’a reproché à parler trop et on a même décidé d’écrire pendant toute l’année qui vient sur la thème Frères, fraternité.
Je n’ai ni frères, ni sœurs! En hongrois il n’y a pas de différence: testvér – en traduction mot à mot signifie corps de sang. J’ai eu une sœur jumelle : ma cousine. J’écrirai d’elle une autre fois. Plus tard, peut être aussi sur la vraie ou fausse notion de la fraternité. Aussi, de mes enfants et petits-enfants, sœurs et frères si différents les uns des autres. J’ai deux mois à m’en préparer, y réfléchir. Finalement, écrire sous contraint, n’est pas si mal.
En réalité, tout sujet est porteur et le vrai problème c'est l’été devant moi et mon enthousiasme d’écrire un peu trop, je me sens dégonflée. J’ai quoi faire, il faudrait seulement avoir l’envie de s’y mettre. Y croire.
«Tout est dans la tête» disait hier au radio un sportif de haut niveau. «Il faut y croire» ajouta-t-il.
Julie, ne perds pas courage !
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