2 août 2003

Un nouveau beau matin, six heures et demie à la compagne. Sous la tente, Annelise et Alexi dorment, dans la maison, tous les autres.

J’ai réussi à me préparer un expresso, mangé des Tucs salés et une bonne poire. Relue et corrigé mon texte sur la Culpabilité. Comme Annelise a mis mon sac et le papier s’y trouvant (et aussi l’ordinateur portable) dans la pièce bureau où dorment maintenant Bernadette et Alexandre, je n’ai pas sur quoi écrire le troisième volet des 'frères' qui sera finalement sur mes 'camarades biens pensants.'

C’est l’avantage d’un contraint extérieur, il stimule et donne des nouvelles idées. Je crois que je serai capable décrire ma vie entière avec le motif 'frère, fraternité' vu en large, bien que ou parce que je n’ai pas eu de vrais, de sang. Peut-être, je les aie toujours cherchée.

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