Hier j’ai participé à la journée « Journaux Monstres et Sexualité des Journaux » à la Maison des Ecrivains. Tenu par A.P.A. : je m’y suis inscrite juste il y a une année.
Un des écrivains invité m’a éclairée vous n’écriviez pas sur votre relation, lien important, parce que vous étiez en couple, harmonie communiquant et vous ne ressentiez pas le besoin de s’isoler - et communiquer avec un autre moi. C’est vrai: j’étais tellement « dedans » que je n’avais pas le besoin ou l’envie de le regarder de « dehors ». Je l’ai fait plus tard. En journal ou en récit - souvenir.
Qu’ils peuvent être méchants certains auditeurs! Je suis intervenue quand le ton des questions avaient franchement dégénéré, insultant les intervenants.
J’ai préféré de loin celui qui a écrit « Aimer » sur une liaison homo profonde. Il cherchait la « vérité » dans l’écriture. La femme, moins profonde, mais intéressante elle aussi est devenue subtilement blessant, elle aussi vers la fin, en mentionnant ses écrits comme « hétérosexuels »: donc quoi censurer ainsi? Ce qui paraît intéressant par contre, elle a fait paraître Journal et Livre écrits sur la même période, même événements. Peut-être, pourrais-je apprendre aussi quelque chose.
Sinon, les membres de « ma » groupe d’écriture m’ont snobées, mais j’ai rencontré deux autres femmes à qui j’ai confié une exemplaire de Rideau de fer. J’aurais au moins quelques nouvelles points de vues, des observations.
Cette nuit (matin, 4 heures) je me suis réveillée et j’ai regardé le DVD My Fair Lady en anglais puis un partie en français. C’est extra, non seulement on peut changer les langues, sous titres, mais aussi accéder aux différents séquences, chansons, revoir plusieurs fois les parties qu’on a aimée.
Puis, ayant lu un peu le livre manuel arrivé hier sur Publisher, j’ai commencé ce matin un brochure: souvenir familial. A continuer.
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