28 novembre 2003

Encore des chaises, belles chaises et fauteuils dans un grand salon. Et beaucoup d’espace, chez Marie, rue d’Écoles, à Paris.

Une très belle appartement et des gens sympathiques pas des parvenus, bien dans leur richesse, au moins dans l’appartement hérité. Tout l’immeuble était à la grand-père du mari.

Un quartier agréable à vivre et fort bien pour des universitaires. Elle a lu mon journal, Au-delà du rideau du fer d’un coup, et s’est proposé non seulement à la corriger (améliorer le français) et m’écrire un avant-propos, me suggérant aussi que Harmattan le verra alors avec d’autres yeux et le publierai. Nous verrons.

Ses suggestions étaient toutes très judicieuses et autant en petit qu’en grand. Si le courrant n’est pas passé comme il l’aurait dû, c’était ma faute. Je l’ai interrompu souvent juste quand elle voulais me raconter quelque chose, par exemple sur Louise Labé et sa poésie.

Elle dit qu’autant les poèmes font bien dedans, autant les lettres et récits augmentent la compréhension du contexte.

D’autres yeux, d’autres regards.
D’autres temps, j’ajouterais aussi.

Merci Marie du courage que vous m’avez apporté! Merci mes lecteur me donnant un renouveau d’énergie à travailler dessus pour l’améliorer. Le rendre plus vrai, plus intéressant, plus compréhensible.

«Vous avez changé d’avis, vous même». Bien sûr, ceci m’est arrivée souvent, elle l’a lue et comprise vraiment.

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