Même si je regarde vers le haut, comme à cinq ans, je sais bien que tout n’est pas, n’est plus devant moi, tout n’est pas, n’est plus possible. Mais j’ai vécu, obtenu déjà pas mal et je peux encore pour quelque temps.
Je vais commencer à m’occuper de nouveau des fascicules sur l’écriture, en mettant pour quelque temps la préoccupation avec mes journaux et autobiographie en arrière plan. Slavia, qui au début me disait que je pourrais m’occuper plutôt de l’informatique, lisant le début de Énième chance me dit qu’on le lit comme un roman. Puis elle avait ajouté «de toute de façon, tout vie est un roman.»
Je crois que ma vie n’est pas un roman, mais plusieurs romans.
Il faudrait réfléchir comment la découper pour qu’elle soit captivante, chaque partie, et en même temps dit, laisse le message que je veux. Plus tard. Ce n’est pas facile de décider les fins.
La fin de la première est-ce le poème sur la tyrannie? Départ du pays? Mon diplôme obtenu, malgré tout?
La fin de la deuxième? Rester seule? Devenir auteur best-seller? L’espoir de communiquer?
La troisième se terminera où? Comment? La fin est encore devant moi, puisque je n’aime pas les fins - séparations. Il y a toujours des nouveaux rencontres. Sinon comme femmes avec hommes: avec des activités.
Le mois prochain, réunions APA (aussi Hongrie?), en avril l’Amérique probablement, en mai Roumanie et Alina revenant ici avec moi. Mais déjà dès la fin de ce mois, les réunions pour Lire et Faire lire de Val d’Oise. Contacter le Réseaux d’échange de Savoirs? J’y ai connu tellement des gens intéressants à travers eux! Groupes d’écriture?
Maigrir! Coûte que coûte. Marcher, nager.
Recueillir tout possible encore sur les ancêtres. Rappeler ma tante et mon once, ils ont plus de 95 ans.
Surtout : rester aussi actif que possible.
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