10 juin 200, Paris.
Je ne le supporte plus.
«J’ai deux petites-filles qui me font bander.» Comment a-t-il pu écrire ceci sur le Web à une femme inconnue?
Il se justifie.
Elle m’a dit de l’étonner. Pour me permettre d’accéder à son site. Il ajoute : Mais finalement, je ne l’ai pas expédié. Moi.
C’est le mari de Valérie qui l’a expédié, pour le mettre à mon dos.
Et ensuite, il attaque. Rien jamais est de sa faute, il faut trouver donc un coupable.
Qui le croit encore ?
Toujours lui :
« C’est lui, son père qui est responsable que la petite essaye de me séduire. On lui avait appris, parce qu’il l’a laissée seule en Algérie pour deux semaines, chez la grand mère du petite, elles lui ont appris à séduire des hommes. »
Il délire.
Tous ses mots sont faux, de A à Z.
Pire, il s’est mis à me raconter comment elle s’était mise dans la chemise de nuit de sa mère au lit de ses parents, en sortant et agitant un petit pied devant son nez.
« On lui avait appris comment me tenter. »
Cette fois-ci, c’en est trop !
La petite n’a que cinq ans !
Il me dégoûte !
Même si tout n’était que dans sa tête et, comme il le dit et je le crois : il a «résisté héroïquement à la tentation. »
Pour une fois, je le crois en ça. Heureusement.
Il dit et redit la même histoire en rejetant toujours la faute de ce qui s’est passé (dans sa tête seulement,) à tous les autres. Pourtant, c’est lui qui a écrit la lettre dans l’ordinateur de Valérie. Expédié ou non, il l’a conçu et ne le nie même pas.
Stéphanie recommande de me faire oublier. Provisoirement. Un autre me dit qu’il est devenu complètement enragé. Oui, hélas, tout à fait.
Bientôt je serai loin, avec mes petits-fils.
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