3 août, Paris
Je suis trop choqué pour décrire notre appartement, tout que j’ai trouvé ici en arrivant. Et trop fatiguée. Une autre fois.
2007: je n'etais pas en etat de decrire comment je l'avais trouve, il suffit pour le moment peut etre d'ajouter que le lit avait ete utilise non seulement par mon mari et puait, sur le table deux tasses et assiettes, horrible.
Le début de nos vacances : Souvenir
Après avoir passé du temps avec Agnès et mes petit-fils, comme je ne voulais pas que François se sent abandonné, laissé pour compte, j’ai proposé qu’au début du mois août, nous allions visiter les lieux de son adolescence, dont il parlait souvent avec nostalgie, dans le Gers. Lectour, et Marcellin où il s’était sentit pour la première fois libre, le village d’où lui vient le plaisir de cuisiner aussi. J’espérais que cette voyage lui ferait bien et nous rapprochera.
Je n’avais pas pu me tromper davantage.
Pendant qu’il organisa cette voyage, il découvrit une site, parlant de « parfums » qui avait des liens vers des sites érotiques, pornographiques. Il s’y perdit dedans et les liens qu’il forma avec une certaine canadienne.
On arrivant à Lectour, nous avons passé deux jours d’abord dans l’hôtel qui est devenu l’ancien maison où il avait habité avec ses parents et, il s’est avéré, des réfugiés. Dont une fille, violé dès douze ans par son père, qui lui avait lancé un défi, qu’alors, il n’osa relever. J’ai trouvé une petite piscine, semblable à celle de jardin de mes grand parents et dès la première soir, je l’ai utilisé avec délices. Il m’a fait des photos, nous étions heureux. Le temps d’une soirée.
Le lendemain, nous avons commencé une cure thermale et on lui permis de jouer à l’orgue de l’église de centre. Tout paraissait bien. Mais, dès ce jour, il était obsédé de ne pas pouvoir chatter avec la canadienne, ne réussit pas d’avoir accès au Web. Il était « en manque », il devint de plus en plus enragé.
Il joua à l’orgue, il médit l’organiste. On lui interdit l’orgue.
Il trouva un autre orgue, dans un village voisine où je l’ai conduite, il médit l’épiscope du région à sacristain. Il n’y pu revenir.
Le matin, nous étions aspergés de l’eau chaud, couverts de boue, j’après–midi on découvrait la région et ses divers orgues. Il me montra Marcellin et la petit école où sa mère enseignait pendant que son père était au prison, ils avaient habité au-dessus d’école, lui et sa mère. Il avait raconté cette année, comme le plus heureux et le plus libre de sa vie. Nous avons acheté d’anciens livres au brocante, goûté la cuisine du pays. Tout aurait dû se dérouler agréablement, mais non. Il devint enragé, contre tous, et finalement, contre moi. Finalement, son comportement horrible devant mon amie et sa hôte, fit déborder la vase.
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