François joue Chopin. Que c’est beau !
Il a beaucoup de même sensibilité, tendresse dans sa façon de jouer qu’avait maman. Qui joue ? Lui ou elle ?
La musique me caresse. Je sens une quiétude, un bonheur à l’écouter.
J’y prends le courage à me ré-attaquer de nouveau à mon journal. Je vais le polir encore avant de le montrer de nouveau à d’autres éditeurs. L’entêtement, le courage pour qu’on le publie finalement, je l’ai. Mais il faudrait écouter encore les autres. Corriger, réparer, polir. Cela ne va pas le trahir, il le rendra agréable à lire. Jusqu’à ce que le texte arrive à séduire.
2007: cause départ trois jours à la fois d'avance
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