27 mars 1999

François est de nouveau sous anticoagulants forts, pour le moment pour trois semaines. Peu de marche, pas de déplacements, examens de contrôle dans une semaine, pris de sang chaque semaine.

Ce matin, l’infirmière aurait du être ici à sept heures pour lui donner les piqûres, il est huit heures quarante et elle n’est pas encore arrivée. Qu’a-t-il pu arriver ?

Une piqûre le matin, une, le soir, tous les jours. Aujourd’hui sera la première. J’essaie d’encourager François pour qu’il ne se sente pas les ailes coupées. On verra après trois semaines.

Je suis optimiste, en gros il réagit bien.

On nous a installé le « cyber câble » qui nous permet dorénavant de surfer sur le Web autant qu’on veut sans prix supplémentaire. J’espère que notre note téléphonique diminuera d’autant ou presque. Cela donne à François un nouvel amusement de toute façon.

L’infirmière est arrivé, enfin.

François : « Je ne tiens plus debout ! »

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