Jeudi 15 novembre
Encore une semaine. Plus tôt, plus tard, tout arrive.
Comment ai-je pu vivre avec lui tout ce temps ?
Depuis le début, il était impossible. Vicieux. Malade. Jaloux de tout que je réussissais. Près de ses sous. Plein de lui-même. Etc.
Malgré cela, j’ai eu des moments, des jours heureux. Je les ai payés cher. De plus en plus cher.
Jusque je n’étais plus prêt ni capable à continuer et qu’il voulait encore et toujours davantage - et surtout d’autres. Maintenant il pourra avoir toutes les femmes qu’il veut, toutes qui l’acceptent, pour une raison ou autre.
Non seulement il est malade, mais il a un côté cruel, mesquin. Plus je suis loin de lui, le mieux je me porte. Encore une fois je le verrai dans une semaine, puis, si tout se passe normalement, dans quatre ou cinq mois. J’essaierai aller à Celles une fois sans lui, sinon, je vais passer tout le reste de mes affaires aux pertes et profits. Lui donner le câble de l’ordinateur (alors que je sais qu’il en avait plusieurs d’autres venant de ma société ancienne) m’a coûté trop, émotionnellement. Il n’aura plus de moi rien, sauf si absolument nécessaire.
Je ne lui dois rien. J’ai déjà trop donné. De moi-même, mon temps, attention. Chaleur. Aide. Écoute. Renoncements. Surtout ça. Fini.
2 commentaires:
Je te lis par Bloglines interposé et je vois que tu passes du 15 novembre au 1er janvier en zappant la journée du 22 novembre et tout le mois de décembre.
??
Merci, François, en principe il ne devrais plus y être, le 1 janvier, je l'avais affiché par erreur, sauf si blogline fait des copies.
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