Aujourd’hui j’ai commencé peindre la cuisine, en verte claire sur les peintures et une sous-couche blanche pour le béton. Petit à petit, puisque je me fatigue vite, mais ça progresse.
Lionel est étonné que je me suis attaquée même au plafond irrégulier de la cuisine ancestrale (dont pleines de petites toiles d’araignées pendaient depuis des années) « nous n’avons pas eu le courage ». Si pas autre chose, du courage, j’en ai.
Je me suis rappelé les murs dans l’entré énorme de la maison paysanne de 1963, la première en France, j’avais peint ses quatre murs en quatre couleurs. Propre, amusant et tuant en même temps les toiles d’araignées, la saleté accumulée. Énorme entré en bas qui ne servait qu’à cela puisque nous vivions en haut.
Ici la cuisine est aussi l’entrée. Elle sera verte claire, tant qu’on peut. Au moins, plus propre que le jaune marron sale d’avant.
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