18 mars 2000

Aujourd’hui Gabrielle a fait devant moi son premier pas. Elle s’est lancé sans se rendre compte pour attraper un journal qui était sur les genoux de François, vite, avant qu’il n’est le temps de le ranger.

Elle se tient à peine, quelquefois pas du tout et, quand elle ne peut plus, elle tombe sur le derrière ou se met à quatre pattes.

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