Lemac est mort cette nuit. Il était tellement malade ces dernières semaines que c’est mieux pour lui. Et pour Lionel qui n’a pas ainsi dû, voulu le laisser achever par un vétérinaire. J’espère seulement qu’on ne l’enterrerait pas ici. Ou alors, seulement ses cendres.
Sinon, la guerre a commencé en Irak et je tremble pour les parachutistes et les troupes d’élites comme s’ils étaient mes enfants. J’espère qu’on n’aura pas trop en plus au cimetière d’Arlington. Et, comme me disait Stéphanie, les obus irakiens n’attendront pas Israël et ses rayonnants arrière petits-enfants.
Je me suis réveillée ce matin après six heures de sommeil à quatre heures et j’ai travaillé sans arrêt jusque midi, comme dans mes bons jours, huit heures d’affiliées.
Le soleil entre par la fenêtre entre ouverte et illumine mes jonquilles jaunes de printemps. Magnifique !
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