Je peux, moi-même

21 mars 2003

Slavia avait raison : je peux, moi-même, corriger pas mal des choses du mon texte. Mais quel travail !

En huit ou dix heures, 70 pages sur papier et à peine 40 en ordinateur. En réalité, c’est beaucoup, même s’il m’a paru un travail de Cendrillon.

En regardant de nouveau le volume Je suis un pauvre mari je viens de constater qu’il est crucial : il commence amoureusement et fini avec ras de bol, tout en ayant vers ses débuts l’explication, dans un texte de quelques lignes recopié d’un auteur, la prémonition de ce qu’arrivera.

Que c’est vrai que les textes m’ont accompagné toute ma vie et à chaque fois je trouvais (au moins souvent) celui convenant le mieux, éclairant ma situation.

Je lutte toujours avec mon rhume. J’espère que ce n’est que ça et qu’il me laissera en paix pour pouvoir profiter de la journée d’APA demain et le Salon des livres dimanche.

Quelle leçon des divers styles dans les quatre livres autobiographique empruntés à la librairie!

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