Nous sommes dans une voiture, Lionel dit à François : la première à droit. François est au volant et prend le deuxième à droit. Bon, peut-être, nous pourrons rattraper la route. Mais le trottoir devient de plus en plus étroit. Des réparations. On n’arrive plus à avancer.
Je descends avec un ami et nous faisons de place en déplaçant ce qui empêche d’avancer. Un ouvrier proteste : remettez ! Après que la voiture est passée, nous remettons les pièges mis pour ne pas laisser la circulation de passer. On sort de la ruelle et l’on arrive à une place. C’est ici que Lionel voulait déboucher dès le début pour aller vers là.
- Regards, dis-je, les maisons ont été rénovés, refaites.
- Oui, me répond l’autre, je reconnais à peine cette place.
- Bon, montons dans la voiture.
- La voiture ?
- Où sont-ils ? Où est parti François ?
- Il ne nous a pas attendu.
Comment le retrouver ?
Il est nuit. Je vais vers un immeuble connu, je me perds.
Je cherche le chemin longtemps, sans le trouver.
Quelqu’un me prend par l’épaule.
Un ami ? Je lui dis ce que je cherche. Il connaît le chemin, me montrera. Il m’emmène, mais je suis de plus en plus convaincu qu’il me veut de mal. J’ai peur.
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