6 avril 1996 en attent

En regardant le film hier soir Souvenir de Vienne, je me suis rendu compte combien chaque mot pèse et que j’avais tort me laisser convaincre quelquefois de les changer de l’original. Je n’aurais jamais dit «comme est habitude chez eux», il faudrait relire les corrections avec attention.

Pour le moment, j’ai envie de passer à autre chose. Un jour, j’écrirai des explications.

J’ai de nouveau envie de scripter et écrire sur les nouvelles façons de diriger son micro. Je le dois à mon Macintosh portable auquel François ne touche plus, le temps de jouer et réfléchir, puis écrire. Puis, peut-être, traduire en anglais mes journaux? Ou simplement attendre, laisser décanter, passer à autre chose.

François joue, c’est de plus en plus beau. L’encourager davantage, me reposer mieux, je me sens encore épuisée, ce qui est normal d’ailleurs après un énorme effort.

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