Je déteste attendre, c’est éprouvant.
Attendre que Robert Laffont réponde, ne sachant même pas si le livre lui est vraiment parvenu, attendre que S. m’appelle et me rende la première partie, attendre que Didier le lise et le commente. Je suis trop impatiente, je sais.
Entre temps, j’ai fini la base de donné pour le réseau.
Demain, j’irai acheter avec le curé de Crécy son Macintosh, puis l’installer, l’initier. J’ai réussi à lui scanner quelques magnifiques images religieuses de Durer.
Je n’ai pas du tout envie de m’occuper de mon livre, le toucher même. Est-ce temporaire? ce sentiment d’éloignement? Je numériserai encore des photos, mais même ceci sans la passion et feu dévorant qui me possédait, m’envahissaient et en même temps, me remplissait la vie.
Je sens un grand vide qui doit être comblée, c’est pour cela que mon amie m’avait conseillé de commencer une deuxième livre avant de finir celui-ci.
Heureusement, nous partons en Amérique, voir mes petits-enfants et la famille, Washington et ses librairies et livres, puis à San José pour une conférence à laquelle François veut assister. En retour, nous allons visiter une autre région qu’il connaît bien, puis réunion des réseaux à Orly, puis une semaine de stage d’animateur encore. D’ici mi juin, le temps sera bien rempli et d’ici-là…
À Washington, j’irai déposer pour copyright «Au fil de la pensée» en hongrois et en français et j’essaierais de m’acheter une application de traduction français - anglais. D’ici là, j’aurai une réponse ou je l’envoie aux autres éditeurs. Je devrais écrire une bonne lettre d’accompagnement.
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