21 février 2002: je ne pourrais oublier!

Heureusement qu’Annelise avait été avec moi. Témoin. En plus, elle a essayé, tant qu’elle a pu aplanir les choses. Nous sommes allés au Celles, récupérer des affaires: Il m'avait écrit 'Sinon, je les jette.'

Bien, j’ai loué une voiture, il y avait aussi une grande table à emporter. (Et un buffet qu’il ne m’a pas donné finalement.) Des sacs de poubelles, préparé avec mes livres. Je voulais la faire commencer gentiment.

— Veux-tu jouer un peu de musique ?

— L’orgue n’est pas encore installé.

— Au piano, alors.

— Oui. D’accord.

Il se préparait d’y aller, jouer. Cette femme, l’a arrêté: pas maintenant. Ce n’est pas arrangé encore, il y a trop de choses.

Alors, nous sommes entrés dans la cuisine, elle voulait offrir du café. Moi, je voulais regarder dans ma petite pièce à moi, voir tout qu’il y est resté, ressembler les photos, mes papiers.

J’ai monté les marches.

Elle a couru après moi: Non, pas ici, ne montez pas. Interdit. Il n’y a rien!

J’ai répondu que je verrai de moi-même. Je suis allée, j’ouvre le petit bureau et bien sûr, c’était plein de mes photos. Il y avait encore pleine de chose à moi là-bas.

Elle se pose entre moi et le bureau et commence à me bousculer, me pousser. Finalement, François l’entendant hurler, arrive. Ne s’interpose pas. Mais me dit: Je ramasserai tes photos, s’il y en a encore. Et commence à les mettre dans un carton.

La sorcière noire m’empêche alors d’aller dans la chambre à coucher pour regarder ce qui reste encore là de mes affaires. Elle me met des deux mains, deux doigt dans l’œil.

J’ai bougé la tête à temps.

Elle me dit qu’elle va entrer en transe et me mettre en petits morceaux.

Je réponds que la maison n’est pas à elle, officiellement, je suis encore la femme de François, elle n’est rien ici. Elle n’a pas à me dire où je dois aller, que dois-je faire ou non.

Annelise intervient. Je descends. Bouleversée, éprouvée, mais pas tant que j’aurai pu.

En quelles mains, il est arrivé !

Elle me pousse dehors de force de la maison aussi, j’attends les paquets près de la voiture, devant, dehors. Elle empêche aussi mon entrée dans la grange où j’ai d’autres affaires.

Bien. Nous partons avec Annelise dans un grand centre commercial et mangeons dans un très bon restaurant de poisson. Je m’étonne de mon calme.

Je ne suis pas près de revoir François de nouveau, sauf devant un juge. Il m’a mis mes photos quand même, mais ne m’a pas défendu. Il m’a laissé, sans rien dire, être attaqué physiquement par cette sorcière.

2 commentaires:

Stephanie White Tulip Popescu a dit…

Pour mois a ete de meme: elle etait si aggressive, elle voulait me battre et lui, qui etait la, ne disait rien, j`etais pourtant si etonnee que je suis partie sur le champs en lui donnant un ultimatum pour les choses qu`il avait encore chez mois! Un homme a ses 48 alors,en juin 2000, avec deux universites finies, vecu 8 ans en Texas chez son frere...elle 33 avec deux tout petits enfants deja, 4 classes primaires, primitive, si grossiere, une paysanne si sotte et agressive...Et moi qui j`etais toute seule... Nous avons commence avec lui disant " je te remercie que tu existe" et nous avons fini avec lui disant " je te pors dans mon dos" quoi qu`il n`etait pas vrai...

Julie Kertesz - me - moi - jk a dit…

hélas, cela arrive à pas mal des gens, hommes ou femmes, et oui, on commence si bien et cela fini si douleuresement!

merci d'avoir ajouté votre témoignage