« Faut dire, qu’on ne nous apprend pas à se méfier » chante Brell dans une de ses chansons avec lesquelles j’ai commencé mon premier jour de l’an.
Oncle vient m’appeler : le 26 son épouse (elle n’a « que 90 ans ») a cassé son bras en tombant sur les marches de leur maison de retrait, et mon cousin Tomi, son fils, a été emporté à l’hôpital d’urgence. Il m’a rappelé que maman aurait eu 97 ans. Oui, mais elle a disparu à 52 à peine ! Mon fils, abattu, vient m’appeler aussi.
Pleines des choses arrivent.
Heureusement presque rien à moi. Ni mal, ni bien.
Je dois me réjouir.
J’ai réussi enfin à faire démarrer le DVD Brell, en redémarrant mon PC. C’est horrible ces copyrights renforcés, rendant nos vies difficile même après avoir acheté l’original et rendent difficile s’en réjouir.
« Les vieux ne meurent pas » : mon oncle fatigué (j’ai entendu de sa voix) à 96 ans vit parce qu’il doit se soucier de ceux (plus jeunes mais plus faibles) autour de lui. Brell, interprétant les mêmes chansons à divers âges : très intéressant. Il affirme dans un interview qu’il pourrait vivre sans chanter mais pas sans écrire des chansons. Mais qu’il ne trouvait pas d’autres à chanter ce qu’il écrivait.
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