Ionel, Agnes m'ont aussi appelée, en plus de mon oncle.
Je songais si je pourrais refaire les deux journaux manquants d'israël. En fait, les résumer, c'est possible, mais pas plus. D'ailleurs, probablement Sandou avait raison: ils contenaient, au moins le premier, des détails trop intimes. Lui, pensait qu'on ne doit même les mettre noir sur blanc, moi, maintenant, qu'on de doit les faire publique.
Bien sûr, les romances de ces derniers décennies contiennent davantage, mais si un jour j'ai vraiment envie, je pourrais le mettre dans un roman fiction et les attribuer aux caractères fictionels. Pas dans mon journal souvenirs, publiés comme tels. Ce que je ressens pour le moment au moins.
2008: En fqit, c'était l'époque quand je devenais vraiment femme et naïvement ou scientifiquement, j'expérimentais des choses lus trouvés dans les livres - j'avais noté certains qui n'ont pas marché pas plu à mon mari surpris. Et, en général, le ravissement (enfin) que j'avais. Mais je me souviens davantage de cette période ou autant de la rage de dent que je décrivis en direct - je ne pourrais jamais trouver (j'espère) la voix que j'utilisais alors pour la décrire.
J'ai bien écrit le récit de ma "nuit de noce", mais je ne l'ai pas mise dans le journal non plus. Entre femmes, parler, en parler, prévenir ou conseiller, c'est autre chose. Ailleurs, autrement. Je ne veux pas paraître impudique - sinon sur mes sentiments et pensés.
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