Si j'ai publié cette photo, ci-dessous, de Sandou, c'est que des années plus tard j'avais dans ma tête encore cette image de lui, l'image de nos premiers amours, l'image de lui heureux avec moi au début, et je n'arrivais à le voir tel qu'il était devenu.
Je crois que c'est une des raisons principales que je l'aimais ou si je ne l'aimais plus je le désirais encore et qu'il me restait une certaines tendresse et envie vers lui, en dépit de tout qu'il me faisait subir et tous mes peines et tous ses trahisons.
Je n'arrivais pas encore à croire, après des événements divers et répétés, que ce n'était pas celui que j'avais si bien connu, qu'il n'était pas celui qu'il restait toujours à l'intérieur de moi quelque part, profondément.
Alors, quand il me rejetait, "pas maintenant" ou partait, ou... je trouvais, après que le premier coup et le chagrin était passé, quelque chose pour le pardoner et essayer autre chose la prochaine fois, comme tactique à l'approcher. Et physiquement, j'avais toujours et encore envie de lui. Même quand, en réalité, dans ma tête je me disais "je ne peux pas m'en débarasser que s'il meurt". Etrange, mais vrai. Avais-je vraiment envie encore de lui ou tout simplement de sex? Non, je n'avais pas envie de "faire avec n'importe qui", c'était avec mon mari!
C'était d'autant plus douleureux qu'il ne dormait plus dans le même chambre et lit que moi, même après que mon petit bébé alla rejoindre en haut sa soeur, et quand je sentais qu'il tremblait de dégoût, de temps en temps à mon approche. C'est tellement dûr de se sentir repoussé! Mais je ne m'éloignit et me décida à agir qu'après l'ultime trahison, que je vous raconterai demain.
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