Mon cher journal, je n'ai pas écrit depuis si longtemps que ta couverture est devenue poussiéreuse. Écrire, me paraît-il enfantin? Ai-je honte ? N’ai plus besoin ? Je ne sais pas.
Je viens de traduire de l'anglais des extraits de “Remember‑me...” par Christine Geornina Rossetti 1830-1894
Souviens-toi de moi
Souviens-toi de moi quand je serai partie...
En bas, dans la terre froide et silencieuse
Quand tu ne pourrais plus tenir ma main
Ni moi, vouloir partir, mais rester...
Souviens-toi de moi si tu ne peux plus
Jour après jour, me raconter notre avenir
Souviens-toi seulement, et comprends
Il sera trop tard pour prier ou conseiller
Et, si tu m’oublies pour un temps,
Ne deviens pas triste si tu te rappelles
Ne t’arrête pas à nos anciennes peines.
Il serait mieux de m'oublier d'un coup,
Que de te souvenir et devenir triste...
En vérité, j’ai eu beaucoup de joie avec Sandou, il m'a apporté énormément de bonheur et très peu d’amertume. Mais qu'est-ce qu'il lui est arrivé hier ? Il n'a pas voulu me le dire.
“Que serra, serra.” On verra. Heureusement, je me suis ressaisie et j'ai commencé subtilement utiliser de la tactique. Ainsi de suite, Julie ! Good bye !
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