“La maison est vide, finis les rires, vides sont les chambres anciennes” comme dans l’air d’opérette. Après deux semaines passées chez nous, ma tante Irène, mon oncle et mes deux cousines sont définitivement partis du pays. Dehors, dans le monde, une autre partie du monde. J’espère, bientôt nous partirons aussi.
J'espère ? Il n'y a plus d'autre voie. Autrement...
Je voudrais terminer ce journal à Vienne.
Ce dont il n'y a rien dans ce journal est la claque que j'ai reçu pendant ce temps (j'avais presque 25 ans!) de mon père, provoqué par la délation d'une cousine et de méchanceté de mon oncle aussi.
Après avoir été au cinéma avec mes cousines, jeunes, et Sandou, je suis resté cinq minutes au coin de la rue pour échanger avec lui quelques baisers en les envoyant à la maison avant moi.
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