Chaque fois que j’arrive dans ma ville natale, la ville de mon adolescence, elle me donne un grand cadeau, et voilà de nouveau je repars avec une confiance agrandie. Je suis redevenue sûre de moi ; plus gentille ; et une vraie “demoiselle”. J’ai plu à tous les garçons que j’ai rencontrés telle que je suis, je leur ai paru fort sympathique. Tout le monde m'a dit que j’avais du charme, une silhouette extra, une très bonne mine et, ils ont même prétendu que je suis jolie. Dans la société des garçons bien, ils se sont comportés avec moi comme avec une jeune fille bien. Et cela leur a suffi.
(Je ne l’écris pas, mais je le pensais :
« Ils n’avaient pas de prétentions d’aller plus loin, comme Simon. »)
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